Cette situation était impossible puisqu’elle n’était pas prévue
- Technicien de la centrale de Tchernobyl
Nous préférons mourir de contamination que mourir de faim
- Une habitante, qui mange toujours les fruits et légumes de son potager malgré l’interdiction.
Je voudrais que l’on cesse de nous présenter comme des condamnés à mort agonisant à petit feu sous le coup des rayonnements. En vingt ans, les spéculations les plus folles ont été entretenues, on a entendu parler de centaines de milliers de morts, de milliers d’enfants malformés, d’épidémie de cancers en tout genre… Mais, la réalité c’est que le vrai bilan de Tchernobyl reste à faire.
- Anatoly Proshin, médecin mais aussi ancien liquidateur.
La « réponse définitive » sur « l’ampleur réelle de l’accident » de Tchernobyl, donnée par le « Forum Tchernobyl » sous la protection d’agences comme l’AIEA (Agence internationale pour l‘énergie atomique), l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et le PNUD (programme des nations unies pour le développement), a été cosigné par les Etats Biélorusse, Ukrainiens et Russe. En parlant de ces signatures:
C’est une tribune rêvée pour effectuer un virage politique plutôt que de présenter un réel bilan sanitaire. Pour ces gouvernements, le temps est venu de sortir de la « logique d’urgence », qui consiste à accepter les subsides occidentaux, pour passer à une phase de développement économique en attirant des investisseurs.
- Haut fonctionnaire de l’ONU sous couvert d’anonymat
